Poème de Mao : Le Mont Wuyun (1955)
Les cinq nuages flottent au Wuyunshan
Ils relient digues de près et cimes de loin
Quel est l'endroit le plus beau à Hangzhou
C'est là où on entend le chant des rossignols
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Poème de Mao : Le Mont Mogan (1955)
Reprenant place ainsi dans la chambre à sept
Je revois sommets et pics se profiler sur l'azur
Après quarante-huit rivages en épingle à cheveux
Nous voilà de retour à Qiantang comme l'éclair
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Poème de Mao : La Marée montante (septembre 1955)
Sur mille lis déferlent les vagues impétueuses
Tels vers Diaoyutai volent des flacons de neige
Combien on magnifie leur formation de grandeur
Comme des cavaliers qui reviennent en vainqueur
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